❝ Embry Monroe ❞
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| Sujet: EMONROE ○ WHAT THE FUCK ? Lol. Lun 29 Nov - 8:42 | |
| “ Embry Carter Monroe „« I swear to Drunk I'm not God. »FOLLEMENT FORMIDABLE. Hey hey hey, salut Manchester ! Alors moi, je m'appelle Embry Carter Monroe et je suis actuellement âgé de 27 longues années. Si je suis à l'institut Crawley, c'est parce que j'ai un défaut dans la cuirasse, comme les autres jeunes ici. Quel est le mien ? Et bien en fait j'suis schyzophrène et mon double c'est Clyde, j'l'aime bien mais il m'emmerde parfois. Il m'fait croire des trucs faux du genre que j'ai une relation intime avec Andrea alors que normalement, j'la capte tout simplement pas, pf. Étonnant, hein? Quoi qu'il en soit, je suis en ville depuis quelques mois et d'ailleurs, je suis célibataire pour votre plaisir, demoiselles. Pourquoi tu veux savoir ça ? Je t'intéresse ? Coquine, va. Ah, j'oubliais. Tu connais la meilleure ? On m'a souvent dit que je ressemblais à Jensen Ackles, tu sais c'mec qu'est tellement beau que ça en donne mal aux yeux, c'est un truc de gue-din quoi!
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QUESTIONS ENTRE AMIS. Tu penses quoi de l'institut ? je trouve que c'est complètement injustifié d'enfermer des gens comme ça sans prévenir et puis qu'est-ce que les habitants en ont à foutre qu'il y ait des mentaux qui s'trimballent dans la ville hein ? M'enfin, Clyde pense que c'est bien que j'sois ici, ça va m'permettre de retrouver mon moi intérieur (soit, lui) et il dit que comme ça, lui et moi on deviendra inséparables jusqu'à la fin des temps. GÉNIAL ! Ah ouais, et tu penses que ça pourrait marcher pour les jeunes ? J'suis plus très jeune, j'dois quand même répondre à la question ? Merde Clyde, tu fais chier, arrête d'me contredire à la fin, connard ! Ouais bon alors, ouais, ça pourrait marcher. T'es fier de toi là hein ! Han je vois. Et sinon, tu viens d'où toi ? J'viens de Dallas, c'au Texas, qui est situé aux États-Unis. Le pays juste en dessous du Canada et en haut du Mexique. Puis, plus bas, y'a l'Amérique du sud. Ouais, j'connais bien ma géo et alors ? Clyde, je t'emmerde ! Pour ce qui est de Clyde, il vient tout droit de mon côté droit, gauche, droit... Les deux ? Intéressant. Et tes papiers, ils sont en règles ? Bah ouais ! On m'aurait pas fait venir ici sinon. En fait faut pas le dire mais j'suis venu dans un bateau qui transportait d'la marijuana et j'ai réussi à m'éclipser en douce avant qu'ils déchargent le cargo... Faudrait pas te faire chopper par les keufs. Tu keaf quoi, toi, dans la vie ? J'aime le rose, les papillons, les promenades sous le soleil, les films à l'eau de rose, les histoires ennuyeuses... MAIS QU'EST-CE QUE VOUS PENSEZ QUE J'AIME ENFIN ? J'aime bien Clyde, il me complète. Sinon j'trouve que Jackie est sympa mais Tania elle m'emmerde. Clyde fait dire qu'il aime bien Andrea et qu'il croit être amoureux, cet abruti. Va t'faire voir ailleurs Clyde, c'est à moi de parler ! C'est qui le boloss qu'a pris ta photo ? J'me promenais dans la rue et genre, PAF, un flash, ils ont pris plusieurs photos et ont fait un montage. Clyde s'est mis à poser comme un con... J'crois que la compagnie s'appelle TUMBLR, mais j'suis pas sûr. T'as une drôle de face dessus. Tu t'étais assis sur un mouton, pas vrai ? Comment t'as fait pour savoir ? C'est plus marrant maintenant j'vais dire quoi aux autres ? Clyde dit que j'devrais pas m'assoir sur des moutons parce que c'est mal. Je suis chiant, nan ? Nan, t'es comme moi. Bon allez, dernière question. Si tu devenais fou, toi, ce serait à cause de quoi ? À cause de toi, bien évidemment ! Plus sérieusement, j'le suis déjà, j'ai pas besoin de raisons supplémentaires !
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WHAT ABOUT YOU? LÉGENDE : Embry (normal), Clyde (italique). Bonnie & Clyde ? I don’t think so…Merde, c’qu’elle est belle quand elle fait mine de penser à quelque chose pour pas que j’aille lui adresser la parole. Ça fonctionnera pas, elle peut pas m’échapper. Elle pourra jamais m’échapper, Andrea… « Je te veux. » C’presque toujours ces trois mots qui sortent de ma bouche avant qu’on se saute dessus et qu’on commence à déchirer – littéralement – les vêtements de l’autre parce qu’on est trop flemmards de les enlever comme il faut et de les poser quelque part de sécuritaire. J’passe ma main autour de sa taille et la ramène vers moi avant de frôler la peau de son cou avec mes lèvres. Elle frissonne et resserre son étreinte avant de se retourner et de m’embrasser passionnément. La passion, avec Andrea, c’est pas ce qui manque. Personne pourra jamais dire qu’on en a pas – sinon, je l’étrangle et mets ça sur le dos d’Embry – quoi qu’il en soit, je reprends le fil de mes pensées, soit… « Putain mais j’fous quoi là. » Super, attends, j’me retrouve dans une situation dans laquelle je savais même pas que je m’étais embarqué. « Embry ? » Andrea me regarde, perplexe. « Qu’est-ce qui a ? » Que j’lui dis, d’un air nonchalant. « Merde ! » Mais qu’est-ce qu’elle a encore à se plaindre ? Chaque fois que j’pige pas ce qui se passe elle m’explique pas et se barre en rageant. J’ai toujours envie de lui dire : surtout éclate-toi à me faire tourner en bourrique, mais si j’le fais j’vais sûrement me prendre un coup et j’en ai pas envie. Andrea est dure à suivre, si j’pense ça c’est surtout parce que c’est avec Clyde qu’elle vit une idylle. Moi, j’arrive difficilement à comprendre ses sautes d’humeur et ce qui vient avec. Quand on a une conversation elle me fait clairement comprendre que je suis le mauvais côté de moi-même et même si j’aimerais bien que Clyde apparaisse pour qu’elle me foute la paix, bah je peux pas. Il vient pas en un simple claquement de doigt non plus, ça prend de la concentration ! – ou pas, hein… - m’enfin, chaque chose en son temps… « Attends ! » Pourquoi je… Oh merde non, pas lui. « Andrea, c’est moi ! » Elle se retourne direct et s’approche de moi. C’te magnifique blonde aux traits fins, yeux d’un bleu magnifique et absolument trop sexy me dévore du regard, histoire de savoir à qui elle a affaire et m’agrippe violemment pour me plaquer contre un mur avant de poser ses lèvres sur les miennes. J’la serre contre moi de nouveau et la pousse en direction du premier truc sur lequel je peux l’accoter qui va se trouver sur mon chemin. Heureusement, on est dans un coin de l’institut où y’a pas beaucoup de gens qui passent, pas très souvent qui plus est, alors on est tranquille. Je trouve un bureau dans une salle vide et la bouscule presque dessus avant de descendre mon pantalon et de lui enlever tout ce qu’elle porte ayant rapport à l’endroit que je veux à tout prix atteindre, le paradis. « Arrête de traîner et prends-moi ! » Comme si elle savait pas que c’est ce que je m’apprêtais à faire… Y’a plus d’espace du tout entre nos deux corps et je sens sa respiration dans mon cou étant donné qu’elle y a posé ses lèvres et que ses mains se rejoignent autour de mes épaules. Je donne le premier coup de bassin et la sens mordiller le bas de mon cou, alors qu’elle remonte pour se faire un chemin jusqu’à mon lobe d’oreille et atterrit de nouveau sur mes lèvres. J’accélère le rythme et me perds en Andrea comme si c’était la première fois, et pourtant je les compte plus. On renouvelle nos parties de sport chaque fois et ça s’améliore encore et encore, même si c’est au putain de top. Merde, merde, merde ! C’est la première fois que ça m’arrive. C’est donc ça que Clyde s’amuse à faire avec Andrea et que j’comprends pas trop. ‘fin, c’pas de mes affaires, étant donné que j’ai rien à voir là-dedans, mais c’est quand même mon corps qu’il utilise cet enfoiré. Ferme ta gueule et laisse-moi finir, tapette. Connard de merde, tu m’auras pas comme ça ! J’donne toujours des coups de bassin à en faire perdre la tête à ma blondasse et je donne le coup de grâce, pensant que là, Embry me foutra la paix pour de bon. « J’dois aller faire un truc, vraiment désolé ! » Dans ta gueule, Clyde l’impuissant. Je remonte mon pantalon et laisse Andrea en plan. J’ai à peine pu savoir ce que ça faisait de se la faire parce que Clyde prend toujours le dessus quand il s’agit d’elle. Trouduc, il perd rien pour attendre ! ----------------------------------- Damn you'se a sexy crazy bitch !« JE AVAIS TE TUER, ENFOIRÉ ! » J’esquive de justesse le truc qu’elle me lance au-dessous de la tête avant de sauter sur mon dos et de foutre ses doigts dans mes yeux. Putain mais elle est malade ou quoi ? Okay, je sais qu’elle m’a dit qu’elle avait un côté plus sauvage, mais à ce point-là ? « Jackie dégage bordel tu m’emmerdes, fuck ! » Elle rumine des trucs que j’comprends pas avant de me lancer que c’sont les femmes qui devraient avoir le pouvoir et que les hommes sont des merdes. C’est bien, j’suis content que t’aies une certaine opinion sur des trucs complètements inutiles pendant que t’es entrain d’essayer d’me tuer. Elle descend finalement et je la plaque contre le mur. « C’est quoi ton putain de problème, Redwood ? » Je la fixe avec un regard dur, elle a pas l’air de rigoler non plus, mais un sourire étrange apparaît sur ses lèvres et elle arrive à se défaire de mon emprise pour me pousser à mon tour. J’savais pas que mini Redwood avait c’genre de force en elle, ça pourrait rapporter plus que j’le pense, j’crois bien. Sans que j’sache vraiment ce qui se passe, elle se retrouve sur moi et sort… UN COUTEAU ! Mais BORDEL DE MERDE, je lui ai fait quoi pour qu’elle m’agresse comme ça ? J’aurais compris si elle voulait autre chose de plus… enfin, moins habillé, mais là ! J’esquive ses tentatives, encore et encore, mais elle m’a quand même égratigné le bras. C’est pas tant un problème, quand j’étais plus jeune j’me cassais sans arrêt la gueule partout, c’est pas ça qui va m’affecter. J’arrive à me retrouver au-dessus d’elle et malgré les mimiques qu’elle fait pour s’en sortir, ça fonctionne pas. J’suis plus grand et plus imposant qu’elle. « Tu te calmes, ou j’te fais te calmer. » Elle se mordille la lèvre et arque un sourcil. « Essaie toujours. » Elle est coincée, y’a vraiment aucune manière pour elle de se sauver, autant en profiter. Puis, c’est pas un viol, elle a l’air consentante… Je m’approche d’elle et frôle ses lèvres avec les miennes avant que ma main établisse un contact réel avec sa peau brûlante. J’réfléchis trois secondes avant de poser mes lèvres sur les siennes. Ses mains se fraient un chemin jusqu’au bas de mon chandail pour le relever. Quant aux miennes, elles sont occupées à trouver une parcelle de vêtements à dégommer. J’arrive finalement à lui retirer sa jupe – ou le truc qu’elle portait qui y ressemblait – et j’dégrafe aussi sa chemise que je lance un peu plus loin. Mon pantalon s’retrouve parterre. J’suis encore halluciné de la vitesse à laquelle j’arrive toujours à faire partir mes vêtements quand j’en ai vraiment envie. J’ai beau être fou, le sexe c’est comme le vélo, ça s’perd jamais ! J’retire complètement mon pantalon et l’envoie valser, faisant gaffe à ce que ce que j’ai dans mes poches s’égare pas. Je tiens Jackie contre moi et j’avoue que j’trouve louche qu’on soit dans cette situation, parce que d’habitude on fait que parler et même qu’elle me regarde pas toujours dans les yeux, comme si y’avait un truc qui la dérangeait. M’enfin, j’l’embrasse à en perdre le souffle tandis qu’elle entoure ma taille de ses jambes et je commence lentement mes vas-et-viens. Elle s’accroche à moi comme elle peut, faut avouer que l’endroit est pas très idéal. On s’en fout, tant qu’on en a envie, c’est ce qui compte. Jackie hurle presque, mais j’lui fais signe de baisser le ton parce que j’tiens pas à ce qu’on se fasse prendre par les gens qui surveillent normalement l’institut. Ils vont dire qu’on est en crise de folie ou un truc dans le genre et ils vont tenter d’nous donner des sédatifs. « J’vais quand même continuer d’essayer d’te tuer, tu l’sais ? » Qu’elle me dit, avant d’se casser comme si de rien n’était. J’réponds pas, j’me contente d’enfiler mon pantalon et d’aller prendre une bonne douche. C’est ce qu’on verra… Est-ce que je dois trouver ça louche que Jackie se souvienne pas du fait qu’on ait baisé dans un endroit pas salubre et que depuis, bah… J’sais pas. Enfin, c’est bizarre, peut-être qu’elle est comme moi, mais j’comprends pas trop son comportement. Faudrait peut-être que j’m’attarde à lui poser des questions. Quoi qu’il en soit, j’regrette rien ! ----------------------------------- Take my order cause your body like a carry out ! Take my order cause your body like a carry out ! Faut croire que j’aime – j’adore, j’adule – les blondes, parce que j’en suis entouré comme pas possible. C’est pas moi qui vais m’plaindre non plus… Andrea, Jackie et maintenant Polly. Une autre schizophrène qui doit sûrement avoir aucun contrôle sur sa double personnalité, comme moi. Quand Clyde décide d’me faire chier, c’est dur d’le repousser du coup quand elle est Hope, c’est… différent. Polly est Hope, ou Hope est Polly. Y’a toujours une partie qui domine, mais j’crois que chez elle c’est son bon côté, soit Polly. Ses personnalités sont foutrement différentes et s’entendent sur rien du tout. La première est sage et axée sur la religion. La deuxième est presque satanique et adore donner des ordres ainsi que désobéir. Le genre de fille qui donne envie de lui courir après rien que pour le plaisir de le faire ! Le genre de fille après lequel je vais parce que j’peux tout simplement pas m’en empêcher. J’connais un peu Polly parce qu’on parle parfois et qu’elle essaie constamment de me convertir à la religion – ce qui m’intéresse pas vraiment – mais Hope, c’est autre chose. Quand c’est elle, je le sais parce qu’elle me regarde avec un regard… Un regard qui dit tout mais qui m’empêche d’agir en même temps. Je sais jamais à quoi m’attendre avec elle et j’crois que j’ose pas trop approcher parce que je sais pas ce qui se peut se passer. J’veux pas être entrain de passer bon moment avec Hope et que Polly revienne, elle va me traiter de pervers et c’est pas le cas. Je fais seulement profiter de ce qu’on m’offre sans trop pousser. « Bonjour Embry ! » Je me retourne dès que j’entends la voix perçante de Polly m’interpeler. « Bonjour, mademoiselle Winchester ! » Je prends sa main et dépose un baiser furtif dessus. J’adore la déstabiliser, je trouve ça foutrement marrant. Elle baisse légèrement la tête et rougit avant de la remonter, tout sourire. « Comment vas-tu aujourd’hui ? » Tout dépend de l’humeur dans laquelle tu seras plus tard. « Bien, bien… Et toi ? » Je peux pas croire que j’doive me la jouer sage alors que je connais son autre côté mieux que celui-là et que damn, je sais qu’il finira par arriver quelque chose. « Bien ! Je viens de prier et là je vais manger. Tu m’accompagnes ? » Et comment ! Je souris et tends mon bras de manière à ce qu’elle l’entoure de son bras. Arrivés à l’endroit où on mange d’habitude, on s’assoit à une table et elle s’en va quelque part pendant quelques minutes. Quand elle revient, je remarque le changement. « Alors beau gosse… Tu viens dans ma chambre plus tard ? » UCUCUC. |
ET EN IRL? ♜ AVATAR Jensen God Ackles. ♜ SEXY PSEUDO Mymz, héhé ! ♜ PRÉNOM TROP BANDANT Gneuh. ♜ MAJEUR OU MINEUR ? Majeure & vaccinée ! ♜ T'ES A MANCHESTER QUAND ? depuis maintenant (a) ♜ T'ES ARRIVE PAR OU ? Bazzart m'a montré la voie de la sagesse 8D ♜ TU PENSES QUOI DE LA CITY ? Elle est bien maintenant que j'y suis - sbaff- |
Dernière édition par Embry Monroe le Ven 3 Déc - 1:17, édité 6 fois |
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